L’inflation des vaccins anti-grippe

L’inflation des vaccins anti-grippe

L’inflation, sauf erreur, ça veut dire en gros que « tout augmente ».

Façon de parler, à dire vrai. Prenez l’exemple du (des ?) vaccin antigrippe. On a l’impression du truc éculé, sur lequel on ne devrait même plus discuter – tellement les preuves de son inutilité sont massives.

Eh bien ! détrompez-vous. L’Assurance Maladie (avec deux majuscules : je viens de vérifier) innove. Non seulement c’est gratuit pour les plus de 65 ans, mais en plus, si on se vaccine contre le Covid-19, on sera « doublement protégé ».

En gros, le Covid 19, c’est une espèce de rhume – au pire, un syndrome pseudo-grippal (pour parler comme un péquenaud) – dont le vaccin, développé à la va-vite est désespérément dépourvu d’efficacité – sinon d’effets indésirables.

Donc, on prend un vaccin inefficace qu’on associe à un autre vaccin inefficace contre une maladie qui n’existe pas – ou tellement peu. C’est un peu comme si vous faites une mayonnaise ratée que vous associez à une autre mayonnaise ratée dans l’espoir d’obtenir une mayonnaise succulente (Top chef, quoi) – par exemple pour accompagner un produit Findus périmé.

D’où la persistante question : surtout en cas d’intoxication alimentaire, qui paye ?

Sachant qu’une rumeur monte : ils sont de plus en plus nombreux ceux qui se sont rendu compte que le Covid n’est rien de plus qu’un rhume et que la dramatisation autour de cette bestiole était un prétexte pour généraliser le pass sanitaire et la surveillance de masse.

Transmission du Covid-19 : les autorités ont-elles menti sur l’efficacité du vaccin pour justifier les pass sanitaire et vaccinal ? (Libération, 14/10/22)

« L’audition au Parlement européen, le 10 octobre, de Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, n’en finit pas d’agiter les opposants au vaccin contre le Covid. Interrogée par le député néerlandais Rob Roos (JA21, droite conservatrice), la responsable du laboratoire avait déclaré : « Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot « transmission », ndlr] avant la mise sur le marché ? Non. » Et de justifier ainsi : Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science », mettant en avant les investissements risqués – à hauteur de 2 milliards – pour la recherche et le développement du vaccin. »

D’où les questions, faciles à répondre pour une « responsable du laboratoire » :

  • C’est quoi la vitesse de la science ?
  • Quels ont été les essais entrepris pour le développement ? Pour le développement de quel variant ?
  • Quel a été le coût de ces essais ?
  • Quels étaient les risques ?
  • Quel a été le retour sur investissement ? Dit plus simplement : ça a coûté combien à Pfizer et ça lui a rapporté combien ?

Il va de soi que les autorités politiques ont tout pouvoir pour obtenir la réponse à ces questions et que, au pire de tout, elles ont le pouvoir de ne pas autoriser le vaccin.

Alors : qui faut-il incriminer à l’origine des mensonges concernant l’efficacité du vaccin anti-covid ? Quels ont été les mobiles de ces mensonges ?