Alertes grippales – comprendre et choisir - Dr Marc Girard

Alertes grippales – comprendre et choisir



Il me semble utile de remettre entre les mains du public un ouvrage paru en 2009, qui n’a pas pris une ride et dont on trouvera un bref récapitulatif dans les lignes qui suivent (le PDF du livre complet étant téléchargeable tout à la fin de cet avant-propos).

Quil me soit permis de rappeler que cet ouvrage n’est pas libre de droits et qu’il est toujours protégé par un copyright. Il est attendu de ceux qui le téléchargent qu’ils y contribuent – au moins en proportion de leurs moyens.

L’art de créer des alertes

Fin septembre 2009, en pleine panique « pandémique » (dûment attisée, entre autres, par des « experts » dont certains sévissent encore au Conseil scientifique COVID-19 réuni autour du président Macron), un éditeur, intrigué par le contenu antagoniste de mon blog, vint me demander d’écrire un livre sur la grippe H1N1. Je tins scrupuleusement le délai de 8 jours qu’il m’avait laissé pour lui remettre le manuscrit, et le livre parut le 8 octobre 2009, sous le titre « Alertes grippales. Comprendre et choisir ».

Dès l’Introduction, je posais que les gens avaient parfaitement senti que les autorités cherchaient à leur faire peur, mais que le scepticisme populaire autour de la menace H1N1 attendait qu’un professionnel (un vrai…) leur fournisse les mots « pour organiser un contre-discours rigoureux » : le présent livre, disais-je, est destiné à soutenir les « citoyens qui ne veulent pas se laisser faire ». D’où la question centrale, éminemment démocratique et que mes fidèles reconnaîtront sans peine :

« Lorsqu’on est profane, est-il possible d’auditer le discours des experts ? ».

En sus de mes engagements de délais – écrire en huit jours un livre de 250 pages –, j’avais pris aussi celui d’accoucher d’« un livre conçu pour durer ». Au lecteur de déterminer si mes considérations sur « l’art de créer des alertes en santé publique », (moyennant la manipulation des médias, des experts, des agences gouvernementales, de l’OMS, de la justice) restent d’actualité…

Auditer les experts

Le chapitre 2 commence sur une question, dont l’actualité se voit renouvelée par la « pandémie » au coronavirus : pourquoi les « experts » se trouve-t-ils à ce point invoqués alors qu’ils ont donné toutes les preuves de leur corruption intellectuelle et morale (surtout ceux derrière lesquels se retranchent les décideurs) ?

On a soutenu d’emblée (cf. chapitre 1) qu’il était possible et nécessaire d’auditer le discours des experts, même quand on est profane. Dans le présent chapitre, on entre dans le détail du comment.

  • En s’interrogeant sur la compétence de celui qui parle, une fois distinguée l’incompétence absolue de l’incompétence relative. On relève que la logique de telles impostures doit beaucoup aux journalistes, aux politiques et aux juges ; elle doit aussi à l’incompétence scientifique des semi-savants et autres vaniteux laborieux incapables de procéder à la moindre délimitation autocritique de leur véritable savoir.
  • On s’interroge aussi sur l’indépendance des experts et donc sur leurs conflits d’intérêts, mais en insistant sur le fait que les liens financiers ne résument pas l’intégralité du problème, qui peut impliquer des dynamiques de pouvoir, de prestige, voire de libido… On se désole, au passage, de la phénoménale inculture des Français à l’égard de ces questions.
  • Parmi les critères de crédibilité expertale, on fait une place centrale à la cohérence : on appréciera la puissance de ce critère pourtant simple en constatant qu’à lui seul, il permet de ridiculiser l’ensemble du personnel politique (de la majorité comme de « l’opposition » – hi ! hi) dans la crise actuelle.
  • Cruciale également, bien que savamment occultée par les frustrés de pouvoir, la question de la répartition des rôles : une « étanchéité radicale » doit séparer le travail de l’expert (qui évolue dans l’aire du savoir) et celui du décideur (le politique ou le juge). On peut donc tenir pour des blaireaux les « experts » qui se mêlent de justifier des mesures indubitablement politiques ou les dirigeants qui se mêlent de justifier leurs manigances en référence à des questions scientifiques (virulence, contagion, par exemple – je dis ça au hasard). Mention spéciale au passage pour les confrères professionnels de santé (présumés sachants, sinon experts) qui se répandent en considérations aussi savantes que militaires sur les contraintes d’ordre public qui devraient s’exercer sur les citoyens pour limiter la Kontagion…

Malgré son ancienneté, ce bref programme permet de répondre à une question d’actualité, à savoir l’exhortation de certains internautes à se regrouper derrière LE dernier résistant à la mode, à savoir le professeur Raoult. J’ai fourni une vidéo assez éclairante, confortée par le présent chapitre (p. 74), justifiant que ni sur le fond, ni sur la forme, je ne pourrais m’approprier le discours de l’intéressé : dans les procédures judiciaires auxquelles j’ai été associé, j’ai rédigé, à l’usage des magistrats, des dizaines de mémos où je ridiculisais le Rapport sur le bioterrorisme signé par Raoult et religieusement fourni par les avocats des fabricants pour démontrer leur désintéressement et leur bénévolence.

On retombe sur cet autre critère de crédibilité dont je viens de célébrer la puissance : la cohérence – surtout au cours du temps…

Les vaccins : des médicaments comme les autres

Nous en arrivons au chapitre 3. En droit français, disais-je, nul n’est tenu d’être expert ; mais nul n’est censé ignorer la loi (ou la réglementation – surtout en un temps où tout citoyen est désormais tenu d’obtenir une permission des autorités… pour sortir de chez lui. Or et bizarrement, on trouve aujourd’hui des “experts” – scientifiques de surcroît – qui ignorent tout de la loi : par exemple, que les vaccins sont des médicaments comme les autres (et donc que pour commencer de les évaluer – scientifiquement ou pas – il serait utile d’avoir un minimum de connaissance quant aux textes qui régissent la vie des médicaments en général, et des vaccins en particulier).

Largement prévue par les textes en vigueur, une première question concerne l’évaluation du bénéfice d’une part, du risque d’autre part: en d’autres termes, du rapport bénéfice/risque. Il est évident que pour soigner (voire guérir) un cancer, on peut assumer plus de risque que pour soulager un petit mal de tête. Mais il est évident, également, que l’évaluation sera faussée si le bénéfice attendu du médicament est exagéré : par exemple, si l’on fait accroire que le vaccin proposé va éviter une hécatombe de morts, alors qu’au mieux, il n’épargnerait que quelques cas de grippette (toute ressemblance avec des situations existantes ou ayant existé étant purement fortuite).

Curieusement, alors que les autorités sanitaires et politiques s’acharnent à démontrer que le risque des vaccins est tellement minime qu’on peut quasiment l’ignorer, il s’avère – on permettra au spécialiste de pharmacovigilance de parler de ce qu’il connaît – que parmi tous les médicaments, les vaccins posent des problèmes de tolérance extrêmement ardus à résoudre : i) un suivi sur le long terme (les vaccins sont généralement supposés exercer leur effet durant des années, voire des décennies); ii) un risque de réaction immunitaire d’autant plus significatif que les expositions aux vaccins auront été multiples ou répétées (la “mosaïque de l’auto-immunité”) ; iii) l’effet d’échelle : une complication survenant chez un patient sur 10 000 n’a quasiment aucune chance d’être observée si la population-cible est de 5000 patients, alors qu’elle va générer une catastrophe si la population-cible est de 68 millions de personnes (vaccination “universelle” ou “obligatoire” à l’échelle d’un pays comme la France) : 68 000 victimes à peu près…

Plus préoccupant encore pour qui connaît un peu la réglementation des médicaments) : le sort des “espèces protégées” de la recherche clinique. Il s’avère en effet qu’outre par un ensemble de textes fort pointilleux pour tout le monde, la réglementation pharmaceutique prévoit classiquement un surcroît de précautions pour les sous-populations réputées plus fragiles que la moyenne : les enfants, les femmes enceintes, les sujets âgés. Or, en situation présentée comme “urgente”, les autorités cherchent à précipiter les évaluations justement pour ces sous-populations qui requièrent naturellement et réglementairement un surcroît de prudence. Cherchez l’erreur…

Principe de précaution

Le quatrième chapitre est peut-être celui qui m’a le plus coûté compte tenu du débraillé terminologique qui règne à ce sujet, tout autant chez les « experts », chez les présumés sachants (tels que les avocats), chez les victimes, chez les intarissables blaireaux de la Toile : « prudence », « prévention », « précaution »…

Ma réticence initiale à traiter du sujet venait du fait que le concept de précaution est né d’une réflexion sur la protection de l’environnement : il s’imposait d’autant moins en médecine que les médecins ont un concept bien plus ancien et bien plus fort, celui de prudence. D’où mon constat tiré d’une expérience assez intensive et dont la pertinence s’est démesurément confirmée depuis les quelque vingt ans où j’ai commencé de griffonner sur le sujet : quand, en médecine, on vous parle de « précaution », commencez par rechercher le cadavre de la prudence – et retrouvez les assassins.

Les victimes du vaccin anti-H1N1 Pandemrix, dont on ne parle jamais malgré leur destin lamentable et le cynisme des autorités supposées les indemniser, ces victimes, dis-je, apprécieront… Plus de dix ans après, mon investissement personnel sur cet ouvrage ancien est motivé par l’espoir d’éviter la réitération d’une catastrophe similaire, mais en bien plus grand.

À noter toutefois cette précision, utile en une époque d’inculture où l’on se complaît à exhiber une pseudo-connaissance des Anciens (si possible dans une langue ancienne, latin ou grec, que quasiment plus personne ne maîtrise) sans la moindre notion de l’esprit qui a pu présider à la formulation de tel ou tel aphorisme. En l’espèce, le « d’abord ne pas nuire » me paraît littéralement obsolète en un temps où l’activité des traitements disponibles expose nécessairement à leurs effets indésirables (effets « iatrogènes », directement liés à une prescription médicale) – et devrait donc renvoyer à une réflexion soutenue sur le rapport bénéfice/risque de ce qui est administré. C’est donc très précocement que j’ai soutenu une contre-proposition dont je n’ai trouvé aucun contre-exemple en quarante ans d’activité consacrée à la thérapeutique (incluant mon activité de psychanalyste) : d’abord ne pas TROP nuire… Ceux qui ont un minimum de conscience (et donc certainement pas le parti des Verts) mesureront la dimension authentiquement écologique d’un tel scrupule…

Le précédent de la vaccination contre l’hépatite B

Le chapitre 5 commence sur un constat qui pourrait être répliqué plus de dix ans après : les « experts » dont on cherche à nous refourguer la camelote (en 2009) ont déjà un sacré passif d’erreurs, ils n’ont jamais esquissé la moindre repentance pour leurs bévues passées et n’ont jamais été sanctionnés. Suivez mon regard…

On en vient alors à l’histoire de la vaccination contre l’hépatite B, présentée (en 2009) comme « un antécédent extrêmement pertinent pour comprendre la crise actuelle » (celle de 2009). Vous allez rire : figurez-vous que la série consacrée aux « campagnes vaccinales de l’administration française » et inaugurée le 08/02/20 (juste avant le confinement) par un rappel de cet historique, était également conçue comme un antécédent extrêmement pertinent pour comprendre l’actualité… Bis repetita

Vous allez d’autant plus rire que cet antécédent me fournit simultanément l’occasion de mettre en garde mes lecteurs (nous sommes en 2009) contre les abus prévisibles de la promotion… des vaccins contre le HPV… Qu’il me soit donc permis, aujourd’hui (en 2020…), de mettre aussi en garde mes lecteurs contre les « lanceurs d’alerte » qui n’avaient rien vu…

La suite de ce chapitre 5 se contente de mettre à l’épreuve, à l’occasion de la vaccination contre l’hépatite B (dont la promotion avait commencé… en 1993-4), la grille d’analyse proposée dans les précédents chapitres. Soucieux de ne pas raser mes lecteurs avec du déjà dit, je me contenterai de lister ci-après quelques-uns des précédents qui me paraissent éminemment significatifs.

  • Sauf pour les fins limiers du REVAHB qui, même avec une mitrailleuse lestée d’un lance-missile, louperaient un éléphant obèse dans un corridor étroit, les preuves de la propagande abusive concernant cette vaccination sont « accablantes » (p. 169).
  • Malgré ces preuves, les autorités sanitaires françaises n’ont pas bronché pour avouer leurs mensonges ; plus grave, des autorités sanitaires étrangères notoirement plus compétentes en épidémiologie ont fini par se calquer sur la France pour renier leurs réfutations initiales, sans bien sûr fournir la moindre justification à leur revirement (p. 173).
  • Parmi les méthodes de promotion mensongère, on relève « la dramatisation de l’anecdotique » (p. 173)1, une « rhétorique de globalisation » (p. 175)2 et la collusion des professionnels de santé (p. 177), plus prompts à amplifier de leur autorité les sornettes glanées à la télé qu’à parler sérieusement de ce dont ils ont une expérience effective (qui se résume parfois à très peu).
  • Quitte à reparler de l’incompétence des juges et de leurs « experts », j’ai un faible pour ce constat terrifiant que selon les termes même d’une réglementation fort précise associant les fabricants à l’administration sanitaire pour les enquêtes de pharmacovigilance, l’intégralité des décisions judiciaires prises à ce sujet (incluant toutes celles confirmées par la Cour de cassation) ont ignoré le principe juridique pourtant fondamental du contradictoire (p. 189-90)…
  • S’il s’agit d’en revenir à l’incompétence épidémiologique de l’administration sanitaire et, plus généralement, des professionnels de santé, j’aime également rappeler que la première étude triomphalement médiatisée comme exonérant la vaccination de tout soupçon avait, statistiquement, deux chances sur trois de ne pas détecter un doublement du risque de sclérose en plaques : on a déjà vu plus anodin qu’un médicament qui doublerait le risque d’une maladie aussi invalidante qu’une sclérose en plaques : on attend toujours des responsables du REVAHB (ou de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations, jamais regardante quand il s’agit de dépenser l’argent des adhérents sur des projets à la con) qu’entre deux marches blanches, ils mettent en place une enquête ultra-facile et peu onéreuse pour examiner l’évolution des ventes de cannes et de chaises roulantes depuis le lancement de la campagne.
  • Comme il ne faut jamais perdre une occasion de rigoler, petit rappel aussi sur le respect de la législation pharmaceutique (p. 203) – à l’usage des « experts » qui ne craignent pas de traîner dans la boue des épidémiologistes aussi éminents que Ioannidis ou Gøtzsche après avoir porté au zénith de la crédibilité scientifique des ex-mannequins comme Sylvie Simon ou des gourdes fieffées comme Irène Frachon, tout en s’obstinant3 à ignorer que, statutairement, les vaccins sont des médicaments. À lui seul et a contrario, ce chapitre 5 illustre le parti qu’on peut tirer d’une connaissance de la réglementation : par exemple pour réfuter le gros mensonge des autorités expliquant l’explosion des maladies neurologiques par la nécessité de rembourser un interféron qui n’était pas encore vendu  (p. 209) ou pour expliquer que la campagne de vaccination « universelle » était, en soi, une inconcevable infraction à la législation qui eût parfaitement légitimé des représailles judiciaires (p. 213).

Et je concluais en disant que, nonobstant ce précédent catastrophique, « tout est comme avant ».

Je dis d’ailleurs la même chose en 2020, en ressortant ce chapitre 5 daté de 2009, qui récapitule une histoire datée du milieu des années 1990…

Élever le débat

« Élever le débat » quand on a déjà la sérénité de ne pas l’avoir traité au ras des pâquerettes, c’est comprendre que, pour considérable qu’elle fût (rappelez-vous…), l’alerte H1N1 n’était qu’une péripétie dans un processus beaucoup plus large, plus ancien et plus durable visant à interdire aux gens de se poser comme citoyens, légitimes à débattre sur les valeurs au lieu de se complaire dans l’hypocondrie par peur de la mort. C’est, par conséquent, ne pas s’enferrer dans quelque engagement que ce soit en accréditant qu’il résumerait à lui seul tous les malheurs du monde4

Élever le débat en 2009, c’était – exemple parmi bien d’autres – créer les conditions pour que, sans éprouver le besoin d’en modifier la moindre ligne, ce livre soit remis dans l’actualité après « la divine surprise » (pour les patrons…) de Macron-président et son coup d’État du 16 mars 2020.

Élever le débat, c’est proposer des événements une triple lecture, politique, scientifique, morale.

  • Omniprésente dans les pages qui ont précédé, la lecture politique rappelle que la menace qui pèse le plus sur l’expertise, ce n’est pas celle des liens d’intérêts (à la révélation desquels je pense pourtant avoir puissamment contribué) : c’est celle de l’incompétence.
  • La lecture scientifique, c’est comprendre que la recherche clinique en général, et l’évaluation des médicaments en particulier, n’ont rien (ou pas grand-chose) à voir avec le travail dit classiquement « scientifique », centré sur une épistémologie tirée des sciences physiques ou, à la rigueur, de la biologie. Rien à voir, donc, avec les références intellectuelles de tous « les sages et les savants » qui se prévalent bruyamment d’une agrégation, d’un doctorat d’État ou de quelque autre affiliation censément prestigieuse (CNRS, INSERM…), mais peu pertinente pour l’espèce.
  • La lecture morale, enfin, c’est comprendre que la faute des autres, pour patente qu’elle soit, ne saurait résumer à elle seule la misère du monde : se demander, par conséquent, en quoi les engagements personnels participent du processus général de récupération par lequel, pourtant condamné à mort par application des lois sacrées du « matérialisme historique », le capitalisme renaît chaque fois de ses cendres, et chaque fois plus fort. Dans un livre consacré aux ravages de la médicalisation, c’est une invitation à y inclure les fausses « alternatives » des médecines douces, holistiques, homéopathiques, parallèles, ainsi que les emprunts aux traditions thérapeutiques du monde qui fascinent d’autant plus que, voyage organisé parmi d’autres, elles sont exotiques (et qu’elles n’impliquent évidemment rien des contraintes culturelles qui donneraient du sens à cette forme de tourisme…).

Conclusion

Nous en arrivons à la conclusion de ce livre publié en septembre 2009, mais dont l’actualité va de soi (même si son éditeur originel ne l’a pas vue : à force de publier sur la santé…).

Je m’en tiendrai à ce constat :

« La triste réalité, c’est qu’il n’est simplement pas possible d’être un professionnel du médicament sans devenir farouchement anti-européen au constat des éléments suivants dont les effets se font sentir à chaque instant : l’effarante efficacité des lobbies, l’impuissance rare des politiques, leur ignoble complaisance et leur déprimante incompétence (…) »

Dans le cadre du Parlement européen à Bruxelles, j’ai souvenir d’avoir entendu un assistant de Rivasi lui lire ces considérations et celles de la page 244, qui justifient ce point de vue : elle avait l’air fascinée.



M’est avis qu’elle n’avait pas tout compris

 

  1. Rappelons que les autorités françaises ont récemment fait tout un foin pour UN décès imputé – à tort ou à raison – à la rougeole
  2. Des enfants cachectiques meurent de la rougeole au Sahel, mais rien n’empêche que ça arrive cheunous, à Neuilly-sur-Seine par exemple
  3. Il y a une section 2.2.3 dans ce chapitre 5 qui s’intitule « Obstination dans l’erreur » (p. 192): elle ne concerne pas seulement le personnel de l’administration…
  4. Il est patent que tout autant chez mes amis que chez mes ennemis, beaucoup résument mon engagement à la vaccination contre l’hépatite B. Il suffit de parcourir mon site pour constater qu’il est bien au-delà.