Le 09/06/10, lors de mon audition sous serment par la Commission d’enquête de l’Assemblée nationale, le Président en est très rapidement venu à me traiter de “menteur”.
D’où la lettre ouverte ci-joint.
Les citoyens jugeront.
Table des matières
Document joint
Post-Scriptum du 17/07/10
En me relisant, je me rends compte que dès le 01/04/10 (cf. Les Perles), je reprochais au Président de la Commission de raisonner “comme un chaudron”: dans leur ensemble, les politiques ont été tellement nuls sur ce coup que je n’ai pas gardé une mémoire précise de tous ceux qui, au jour le jour, ont cristallisé mon ironie…
Compte tenu du zèle particulièrement suspect des responsables de cette commission pour colliger l’intégralité de mes contributions avec l’aide d’on ne sait qui, on peut penser que cette pique (d’ailleurs explicitement évoquée en page 653 du rapport) n’est pas sans rapport avec l’agressivité aussi puérile qu’obstinée de l’intéressé lors de mon audition: reflet, s’il en était besoin, de l’élévation avec laquelle nos responsables politiques abordent aujourd’hui les vrais problèmes.
J’accorde à G. Bapt, pourtant bien plus régulièrement malmené dans mes Perles, d’avoir fait preuve d’une toute autre hauteur de vues (le compte rendu de mon audition a d’ailleurs soigneusement gommé l’insistance toute particulière du Président – dûment pointée dans ma lettre ouverte – à justifier mon audition in extremis par une simple lubie du député socialiste…)