Débat interdit

Débat interdit.

J’avoue que j’avais zappé sur le livre paru en 2022: Le débat interdit.  J’aurais pourtant dû tilter, car le thème en était la fausse pandémie Covid pour laquelle j’ai été l’un des premiers à rigoler.

Je note que le sous-titre précise Langage, Covid et totalitarisme (l’éditeur étant Guy Trédaniel)…

Des débats interdits, pourtant, ce n’est pas ça qui manque. Mentionnons – sans prétention à l’exhaustivité:

  • le conflit israélo-palestinien,
  • les vaccinations,
  • l’éducation sexuelle à l’école,
  • la fabrique du crétin par cette même école…

Mes fidèles reconnaîtrons certaines thématique, à l’exception peut-être du conflit israélo-palestien dont j’ai peu parlé publiquement. C’est que deux des mes petits-enfants sont d’origine palestinienne. Je tiens de leur grand-mère un assortiment des sévices exercés par Israël sur les Palestiniens, dont celui-ci m’avait frappé (on reste dans  les problématiques scolaires…): obligation d’apprendre l’hébreux (dont le cynisme s’épaissit du fait suivant:  la grande partie des Juifs qui ont survécu en Europe parlait yiddish et non pas hébreux)…

Revenons au thème initial: le débat interdit. On n’a pas idée du nombre de faux-experts qui pululent à notre époque et sous nos latitudes – à  la  télé, dans les journaux , à l’école. Il faut dire qu’avec Macron et sa bande, on n’a pas fini de s’arracher les  cheveux, aussi bien en matière de débat ouvert que d’interdiction… Et ce n’est pas sur Marine Le Pen qu’il faut compter pour élever le niveau…