Épidémiologie pour les nuls

Sous ce titre, à l’intérieur d’un article suggestivement intitulé L’urgence d’une réévaluation (mis en ligne le 26/09/04), j’avais essayer de donner à mes lecteurs les moyens de se réapproprier le débat épidémiologique sur la toxicité des vaccins contre l’hépatite B, en faisant le constat suivant, à la portée de n’importe qui : alors que dans les années 1980, la sclérose en plaques était une maladie quasi invisible même pour les médecins, aujourd’hui n’importe qui – n’importe quel profane – connaît dans son entourage au moins un (et souvent plusieurs) sujets atteints d’une sclérose en plaques.

Sur la base de ce constat (et d’autres recoupements plus techniques), j’évaluais à un minimum de 80 000-90 000 le nombre de victimes de la vaccination contre l’hépatite B. C’était l’époque où le REVAHB bataillait pied à pied avec les autorités sanitaires pour contester que le nombre de victimes n’était pas 437, mais plutôt 492 – selon une évaluation « scientifique » dont Rivasi & Co ont pris le relais…

Appliquant le même raisonnement pour les nuls à la PANdémie covid qui monopolise l’attention du gouvernement, de ses « experts » et des médias, on peut constater la chose suivante, sur laquelle je n’ai cessé d’insister : en France, même dans les régions réputées les plus touchées, QUI a connu une personne décédée du coronavirus ?

À ma connaissance, personne.

Cherchez l’erreur…