Un de mes lecteurs parmi les plus fidèles me recommande de remettre dans le courant de l’actualité (29/10/18) cet article du 21/12/17 qu’il juge regrettablement inaperçu. J’accède d’autant plus volontiers à sa demande que, dans l’entre temps, j’ai mis en ligne une série intitulée « Quand les victimes racontent leur expertise ». Tel n’était pas mon objectif quand je me suis attelé à la publication de ce travail laissé sous le boisseau durant plus de dix ans mais, au vu des réactions qu’il suscite, il me semble que devraient rougir de honte ceux (tout particulièrement les responsables de l’AIMSIB, et certains de leurs sympathisants) qui, pour le plaisir d’un jeu de mots même pas bon ou la jouissance d’un dénigrement bête, n’ont pas craint de s’attaquer à moi sans la moindre pudeur. Je note en passant que par contraste avec leur dramatisation ridicule des taquineries anodines que leur réserve parfois l’Ordre des médecins, les sévices dont j’ai fait l’objet – parfaitement quantifiables –, sont monstrueux en termes de coût direct et indirect, et qu’ils ont impliqué les plus éminentes autorités judiciaires de notre pays : cette situation facile à documenter n’en rend que plus odieuse l’obstination durable de l’AIMSIB – inexplicable au regard des objectifs que cette association prétend défendre – à apporter sa modeste contribution à ce harcèlement sans précédent [2].
"Dépolitisation", on disait…
RÉSUMÉ – On revient sur la critique acerbe d’un des auteurs dont j’ai analysé l’article paru dans la revue Nexus, et on la démolit point par point, preuves en main ; on réfute également comme trop facile la critique que je mettrais tout le monde "dans un même sac". On s’interroge ensuite sur la variabilité de la notion de "bienveillance" telle que promue par l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante (AIMSIB) à laquelle appartiennent tous les auteurs de l’article publié dans Nexus. Sur la base d’exemples précis, on montre ensuite que cette "bienveillance" est surtout un indicateur d’irréflexion, puisqu’elle fonctionne objectivement comme outil de censure et d’occultation des principaux problèmes posés par la criminalité médico-pharmaceutique : on en tire que la pseudo-bienveillance promue par l’AIMSIB fonctionne surtout comme un lâche prétexte pour masquer les vrais conflits et se débiner devant la violence croissante de toute cette mafia.
RÉSUMÉ – On reprend de façon synthétique l’essentiel de l’argumentation que j’avais développée voici plus de quatre ans à propos de la rougeole, au cours d’une confrontation télévisée avec un « expert » manifestement idiot de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : on constate que mon argumentation n’a pas pris une ride, mais qu’elle est toujours extrêmement minoritaire. On s’interroge alors sur le triomphalisme des autorités sanitaires et de leurs donneurs d’ordres, alors que l’indigence intellectuelle de leur discours promotionnel va de soi. Un bref inventaire des résistances à ce discours conduit à renouveler le constat que les réfutations échafaudées par les opposants ne valent pas mieux, la majorité d’entre eux se montrant tétanisés à l’idée de se voir traités « d’anti-vaccinalistes ». On conclut sur une interprétation politique de cette étrange pusillanimité.
RÉSUMÉ – On répond aux questions de certains lecteurs sur l’annulation des sanctions ordinales qui frappaient H. Joyeux, et sur les glapissements d’indignation que cette annulation a provoquées chez M. Cymes. On rappelle que sur le présent site, ces deux-là ont déjà été présentés comme des bouffons intellectuellement anodins et on montre qu’il n’y a aucune raison pour changer d’avis. Au passage et sur la base de souvenirs personnels inédits, on s’interroge sur l’incohérence de l’Ordre en matière de déontologie.
RÉSUMÉ – Les principales articulations de l’argumentaire promu par les autorités pour justifier le récent élargissement des obligations vaccinales sont : i) l’évidence scientifique (revue et corrigée par les techniques de propagande les plus grossières) ; ii) l’intérêt général privilégié sur l’égoïsme des individus ; iii) le devoir des parents à l’endroit de leur progéniture et la légitimité des actions judiciaires que les enfants pourraient entreprendre contre ceux-ci pour défaut de vaccination. Or, un minimum de culture historique permet de reconnaître dans ce discours les articulations-types de ce qu’un historien a récemment caractérisé comme « la révolution culturelle nazie », sur arrière-fond d’une absence de compassion de sinistre mémoire. Ce n’est pas forcément un hasard que le présent article soit mis en ligne un jour de printemps…
Un post-scriptum daté du 11/12/17 a été ajouté à cet article initialement mis en ligne le 29/11/17.
RÉSUMÉ - Sur la base de deux exemples tirés de l’expérience, on défend l’idée (déjà exprimée sur le présent site) qu’il n’est nul besoin de mimer une expertise que l’on n’a pas pour s’opposer à des décisions politiques fallacieusement fondées sur l’avis "des" experts. En référence à nos "critères de crédibilité intrinsèque", on en vient ensuite à la critique volontairement profane d’un article récent dénonçant "l’obligation vaccinale" sur la base d’une compétence censément savante ostensiblement revendiquée par les auteurs ; on élargit ensuite le débat à la portée scientifique, politique et éthique de cette indigente contribution. En conclusion, on s’attache à replacer notre critique dans le contexte de la dépolitisation contemporaine.
Le site de mon ami très-fidèle docteurdu16 a présenté une pétition consacrée aux obligations vaccinales et signée par quelques médecins, laquelle a suscité de nombreux commentaires (135 à l’heure où j’écris), que je n’ai pas lus car l’échange s’est vite transformé en foire d’empoigne. C’est donc avec une certaine surprise qu’alerté par un internaute, j’ai pris connaissance de quelques considérations me concernant, sous la plume d’une consoeur qui semble avoir été l’initiatrice de la pétition initiale. Après avoir rapidement répondu sur le site en question, je me suis résolu à transcrire ici cet échange au motif qu’au-delà de ma petite personne (1,78 m), il me paraît renvoyer à quelques questions d’intérêt général. Cette transcription est assortie de quelques notes et d’une conclusion qui n’ont pas été envoyées sur le forum du docteurdu16.
Une interview radiophonique sur l’escroquerie H1N1, qui me paraît toujours d’actualité malgré son ancienneté (printemps 2010).
RÉSUMÉ – L’indigence des contributions signées par « les Décodeurs » du journal Le Monde me paraissait tellement évidente que je n’avais pas spontanément éprouvé le besoin d’en parler ; néanmoins, il m’a été fait demande de les réfuter. Exécution…
RÉSUMÉ - Une Tribune intitulée « Vaccins : science ou rumeurs, il faut choisir », cosignée par Alain Fischer (président de la "Concertation citoyenne sur les vaccinations"), est parue dans Le Monde (01/06/17), journal dont l’indépendance à l’endroit des forces de l’argent n’est plus à démontrer. Malgré la canicule qui conduit les experts à déconseiller l’usage des épices par grosse chaleur, ladite tribune vaut son pesant de moutarde.