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Médias

Articles de cette rubrique


LA vérité sur les vaccins selon "Enquête de santé" (12/11/19) (Médias)

dimanche 17 novembre 2019 par Marc Girard
Sous un titre empreint d’humilité cartésienne (LA vérité sur les vaccins), « Enquête de Santé » a diffusé, le 12/11/19 – c’est-à-dire très récemment – une émission destinée à rassurer les parents sur les nouvelles obligations vaccinales, dont celle contre l’hépatite B. Le temps et l’envie me manquent pour (...)


E. Macron contre C. Julien : les choix du "Monde diplomatique" en matière de santé (Le Monde diplomatique)

mercredi 18 septembre 2019 par Marc Girard

RÉSUMÉ – De concert avec une propagande médiatique quasi unanime en faveur des obligations vaccinales imposées en France depuis janvier 2018, le bimestriel Manière de voir a publié, en mars-avril 2018, un article stigmatisant les résistances aux vaccins. En reprenant l’original de cet article publié par Le Monde diplomatique en 2009, on constate que cette reprise n’a pu se faire que moyennant une éloquente falsification visant à dissimuler que prestigieux mensuel de gôche était lourdement tombé dans le panneau de la fausse « pandémie » ; loin de faire amende honorable, il a auto-censuré sa référence à des experts « dignes de confiance » dont la suite a démontré qu’ils ne l’étaient pas vraiment. On s’interroge, en conclusion, sur la compulsion de la gôche à promouvoir les pires malfaisances d’un capitalisme de moins en moins contrôlable.

Table des matières

  1. Introduction : union sacrée autour des vaccins
  2. Le Diplo baïonnette au canon derrière Touraine et Hurel
  3. La « véritable originalité » du Diplo
  4. « Les phénomènes qui modèlent le monde de demain », mais celui d’hier aussi
  5. Conclusion


"Médicaments à écarter" selon la revue Prescrire : une liste noire avec des blancs... (Revue Prescrire)

vendredi 1er février 2019 par Marc Girard

Si j’en crois la presse de ce jour, la revue Prescrire, avec son habituelle humilité-typiquement-scientifique, prétend une fois encore jouer au Bon Dieu qui sépare les boucs (les mauvais médicaments) et les brebis (les bons médicaments). C’est l’occasion de ressortir cet article qui ne date pas d’hier (date de première mise en ligne : 17/02/2013), suggérant que pour tenir un discours cohérent (et, pourquoi pas, durable) sur le sujet, il faut sortir des modes, des Frachon, des Even et autres héros qui ont d’autant plus le suffrage des médias qu’ils ne remettent RIEN de fondamental en cause.

Déjà excessivement occupée par le risque thrombo-embolique des pilules de 3e/4e génération (et d’elles seulement...), la presse fait actuellement ses choux gras d’une nouvelle liste noire, publiée par la revue Prescrire, de médicaments censément "à éviter" - voire (soyons fous !) dont le retrait "s’imposerait".

Rappelons que voici quelques semaines, c’est via un livre que d’autres auteurs - pourtant pas particulièrement réputés pour leurs contributions en recherche clinique ou en pharmaco-épidémiologie [8] - s’autorisaient à clamer que 50% des médicaments ne servaient à rien (merveilleux hasard des comptes ronds : pourquoi par 40%, pourquoi pas 60%, ou 73,354% ?...).

Ayant déjà mon content d’ennemis dans les rangs de Big Pharma - et ailleurs -, j’évite autant que faire se peut d’attaquer frontalement les critiques du système. Mais n’ayant jamais caché mon souci relatif au risque de récupération, je crois utile d’attirer l’attention du public quant aux limites - et aux dangers - de l’exercice consistant à promouvoir de telles listes noires.



« There is no alternative » : les déconneurs du journal Le Monde au soutien d’un gouvernement incapable (Médias)

vendredi 16 février 2018 par Marc Girard

RÉSUMÉ - On s’intéresse ici à un nouveau « décodage » du journal Le Monde, consacré aux problèmes d’enneigement qui ont récemment paralysé le territoire français. Sur la base de cette thématique, choisie justement parce qu’elle n’a rien à voir avec les questions de santé habituellement abordées sur le présent site, on s’attache à reconstituer les invariants d’une rhétorique de mystification qu’on avait déjà vue à l’œuvre à propos des obligations vaccinales : inculture, incohérences et illogisme, incompétence, mauvaise foi et occultation des « faits » sous couvert de les éclairer, refus du moindre débat. On constate que cette pratique de « décodage » confiée au premier pigiste venu correspond à une régression par comparaison avec le recours déjà fort contestable à de supposés « experts ». On conclut en s’interrogeant sur les commanditaires réels de contributions journalistiques aussi indigentes.

Table des matières

  1. Introduction : évaluer une crédibilité
  2. Questions de forme
  3. Questions de fond
  4. Questions occultées
  5. La morale de l’histoire
  6. Conclusion : "Venons-en aux faits"


Troubles du comportement liés aux perturbateurs endocriniens, bénéfices des nouveaux anticancéreux… (Revue de presse)

dimanche 15 octobre 2017 par Marc Girard

Dans la Culture du narcissisme, n’importe quelle promesse de survie ou de moindre morbidité suffit à déclencher l’enthousiasme des foules : ce serait une tâche herculéenne de rectifier la désinformation alimentée par les médias dès qu’il s’agit d’offres médico-pharmaceutiques [10]. Cela n’empêche pas de s’appliquer à de telles rectifications au moins de temps en temps, surtout à l’heure actuelle où tout se passe comme si les responsables politiques et sanitaires s’attachaient à détourner l’attention des vraies menaces que, cette fois, ils font peser sur la santé des citoyens – par exemple, celles liées aux nouvelles obligations vaccinales auxquelles vont forcément s’ajouter bien d’autres obligations (vaccinales et non-vaccinales : dépistages incongrus tels que la mammographie ou les PSA, taux de cholestérol, échographies et autres tests obstétricaux...) avec leur immanquable cortège d’effets iatrogéniques parfois sévères, voire tragiquement invalidants. Je ne parle pas des herbicides ou pesticides (dans l’ordre des risques sanitaires parfaitement évitables moyennant un minimum d’intégrité politique…).

Sans aucune prétention à l’exhaustivité, les rectifications de ce jour concerneront deux thématiques dont on nous a abreuvé ces jours derniers : i) les perturbateurs endocriniens « affecteraient le comportement des petits garçons » (Le Figaro, 02/10/17) – et pas des filles, curieusement ; ii) « La majorité des nouveaux médicaments contre le cancer n’apporte que des bénéfices mineurs par rapport à ce qui est déjà prescrit » (Le Figaro, 06/10/17).

Table des matières

  1. Perturbateurs endocriniens et troubles du comportement
    • Les titres de la presse
    • Analyse de l’article princeps
  2. Bénéfices des nouveaux anticancéreux
  3. Conclusion


Surconsommation pharmaceutique des sujets âgés, aluminium dans les vaccins, méningite mortelle (Revue de presse)

vendredi 22 septembre 2017 par Marc Girard

Dans la Culture du narcissisme, n’importe quelle promesse de survie ou de moindre morbidité suffit à déclencher l’enthousiasme des foules : ce serait une tâche herculéenne de rectifier la désinformation alimentée par les médias dès qu’il s’agit d’offres médico-pharmaceutiques [12]. Cela n’empêche pas de s’appliquer à de telles rectifications au moins de temps en temps, surtout à l’heure actuelle où tout se passe comme si les responsables politiques et sanitaires s’attachaient à détourner l’attention des vraies menaces que, cette fois, ils font peser sur la santé des citoyens – par exemple, celles liées aux nouvelles obligations vaccinales auxquelles vont forcément s’ajouter bien d’autres obligations (vaccinales et non-vaccinales : dépistages incongrus tels que la mammographie ou les PSA, taux de cholestérol, échographies et autres tests obstétricaux...) avec leur immanquable cortège d’effets iatrogéniques parfois sévères, voire tragiquement invalidants. Je ne parle pas des herbicides ou pesticides (dans l’ordre des risques sanitaires parfaitement évitables moyennant un minimum d’intégrité politique…).

Le commentaire du jour porte sur les dernières nouvelles colportées par la presse en cette fin septembre 2017 : 1) les sujets âgés consommeraient trop de médicaments, 2) une étude "particulièrement innovante" bien cachée dans un "rapport qui dérange" confirmerait la toxicité de l’aluminium utilisé dans les vaccins, 3) il y aurait toujours des irresponsables pour mettre leur vie en péril par défaut de vaccination...



Libérer la contestation ou conforter l’aliénation ? (Le Monde diplomatique)

dimanche 8 mai 2016 par Marc Girard

RÉSUMÉ - On part d’un article du Monde diplomatique (mai 2016) analysant l’inefficacité des luttes sociales, et on montre que les mêmes causes peuvent expliquer l’inefficacité patente des protestations contre la criminalité médico-pharmaceutique. On reproche en revanche à cet article sa cécité relativement aux leurres du système capitaliste qu’il prétend combattre, alors qu’il s’en fait l’ardent propagateur : c’est un mécanisme parfaitement superposable à celui qui conduit les plus virulents critiques des lobbies sanitaires à promouvoir une médicalisation qui contribue à renforcer la puissance desdits lobbies.



L’égalité des sexes selon Le Monde diplomatique (Le Monde diplomatique)

vendredi 6 mai 2016 par Marc Girard

RÉSUMÉ - La publication dans Le Monde diplomatique (avril 2016) d’un article de J. Fleuri intitulé "Les Japonaises indésirables au travail" m’a inspiré le commentaire ci-après, qui a été envoyé au Rédacteur en chef.



L’Éducation nationale, acteur majeur de la propagande vaccinale (Valeurs Mutualistes (MGEN))

samedi 23 avril 2016 par Marc Girard

RÉSUMÉ – Sous le titre de couverture « Vaccination – Comment hésiter ? », le numéro d’avril 2016 de Valeurs Mutualistes (magazine des adhérents à la puissante Mutuelle Générale de l’Éducation Nationale) a publié un dossier au titre d’une contribution à la Semaine européenne de la vaccination (25-30/04/2016). On trouvera ci-après le texte de la lettre que j’ai adressée au Président, lequel avait tenu à introduire le dossier par un éditorial intitulé « La vaccination, parlons-en ».



Surmédiatisation d’une démission à la Conférence nationale de santé : quand les lanceurs d’alerte arrivent après l’incendie… (Médias)

mercredi 24 février 2016 par Marc Girard

RÉSUMÉ – Modeste réflexion, indubitablement tirée de l’expérience, sur l’agitation médiatique qui entoure, depuis quelques jours, la démission du secrétaire général de la Conférence nationale de santé, une instance du Ministère de la santé supposée incarner l’esprit de « démocratie sanitaire » auquel nos autorités ont proclamé leur allégeance depuis plus de dix ans.



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