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L’hypocrisie des médecins confrontés aux obligations vaccinales (Vaccins)

vendredi 21 décembre 2018 par Marc Girard

Depuis sa mise en ligne le 05/12/18, ce texte - que je tiens pour important dans ma critique de la médicalisation - a fait l’objet de divers approfondissements, notamment sous forme de notes. C’est pourquoi je crois utile de le communiquer une nouvelle fois aux visiteurs de ce site.

Un post-scriptum sur les risques encourus par les médecins qui refuseraient de vacciner a été ajouté en date du 21/12/18.

RÉSUMÉ – On s’interroge sur la bizarre obstination des médecins qui se présentent comme raisonnablement critiques à l’endroit des vaccinations à ne pas aborder de front la question des obligations et à noyer le poisson de leur élargissement récent dans des considérations vagues centrées sur « la bonne information » (dont ils se portent tout naturellement garants), alors qu’il suffit de vaquer sur le présent site pour constater qu’en pareille matière, ils n’en savent guère plus que le blaireau de base. Il n’est pas difficile de montrer que, pour parfaitement injustifiée qu’elle soit, cette arrogance renvoie à une très inquiétante collusion des professionnels de santé avec les détenteurs du pouvoir politique et financier, laquelle rend compte, en dernière analyse, de leur docilité et de leur veulerie à l’endroit des forces de l’argent qui leur garantissent une subsistance excessivement confortable.

Table des matières

  1. Introduction
  2. L’éléphant dans la pièce
    • « L’autonomie » en sous-traitance
    • Juste une question d’information ?
  3. Un éléphant en forme de bête immonde
  4. Conclusion : merci Patrons !
  5. PS - Les "menaces" de la CPAM


« Démocratie internet » : quelles règles pour quel jeu ? (Propagande et contre-propagande)

lundi 17 décembre 2018 par Marc Girard

RÉSUMÉ - Les bons apôtres de la « bienveillance » appliqués à la médecine « scientifique » (AIMSIB) ont encore frappé en stigmatisant ma « haine » jointe à ma propension à « tout » critiquer – incluant, accrochez-vous au pinceau, les « féministes »… Malgré la désolante médiocrité de cette polémique ou, plus probablement, grâce à elle, il est possible de dégager quelques réflexions utiles à l’analyse la « démocratie Internet » et, accessoirement, utiles à l’appréhension de ma critique à l’endroit de la médicalisation. Le texte qui suit reprend celui d’une réponse que j’ai publiée le 15/12/2018 sur le site de Michel de Lorgeril.



Une critique de mon livre sur la brutalisation du corps féminin (Femmes)

mardi 4 décembre 2018 par Marc Girard
Je n’ai pas soudoyé l’auteur et lui-même reconnaît qu’il a mis un certain temps à réagir (tout le monde ne peut pas être éjaculateur précoce…). Mais le commentaire de mon dernier livre que je reçois aujourd’hui même me touche d’autant plus que le docteurdu16 me paraît avoir compris pas mal de choses, sans (...)


Quand la médecine se la joue « scientifique » et « bienveillante » (Vaccins)

mardi 20 novembre 2018 par Marc Girard

Le 20/11/18, un PS a été ajouté à cet article, initialement posté le 09/10/18.

RÉSUMÉ – On revient sur l’éviction de Gøtzsche de la fondation Cochrane, en contestant que les causes du scandale soient imputables à la façon dont l’industrie pharmaceutique aurait égaré les médecins de la Science. On soutient notamment que l’esprit médical s’est toujours tenu très éloigné du raisonnement scientifique et l’on prend comme exemple de cette indigence scientifique un texte récemment diffusé par l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante (AIMSIB). On tient pour lié à cette indigence scientifique un manque d’éthique qui rend compte, pour une bonne part, d’une incapacité à défendre la santé des gens, rendue manifeste par l’impuissance des professionnels de santé à lutter contre l’élargissement des obligations vaccinales, pourtant aussi injustifiable scientifiquement que moralement. La problématique des vaccins anti-HPV actualise la difficulté des médecins à maîtriser leur inconscient dès qu’ils sont confrontés aux femmes : on rappelle que cette difficulté renvoie justement à la morale, et qu’elle ne date pas d’hier…

TABLE DES MATIERES

  1. Introduction - Du rififi chez Cochrane
  2. Narcisse a rendez-vous avec Diafoirus
  3. L’esprit médical
    • Manque de scientificité
    • Manque d’éthique
  4. Conclusion : Romains ou Molière ?
  5. Post-scriptum - Quand le "haine" succède à la "malveillance"


Au bonheur des eunuques : la vaccination contre l’hépatite B (Hépatite B)

lundi 19 novembre 2018 par Marc Girard

Malgré sa débilité voyante, le mode de falsification mis au point par la pharmacovigilance française pour priver, grâce à la connivence béate de la justice civile, les victimes de la vaccination contre l’hépatite B d’une juste réparation a été repris à l’identique, avec la complicité des mêmes intervenants (magistrats et "experts" judiciaires), pour les accidents iatrogènes imputables à Androcur. Il peut donc être utile de replonger le présent article (initialement mis en ligne le 01/01/18) dans l’actualité de ce nouveau scandale.

RÉSUMÉ - Une « mise au point » datée du 18/12/17 (et qui semble engager collectivement l’INSERM) oppose une fois encore « la science » promue par les responsables de ce texte aux « idées reçues » des opposants à l’élargissement des obligations vaccinales qui doit prendre effet au 01/01/18 : les risques des vaccins contre l’hépatite B y sont cités comme exemple de ces « idées reçues ». Sur la base de documents aussi officiels qu’aisément disponibles, on montre que, pour dissimuler ces risques qui contrariaient la promotion des fabricants, la pharmacovigilance française a répétitivement falsifié les données disponibles, tout en se plaçant continûment en infraction avec la réglementation pharmaceutique européenne. On s’étonne, au passage, que la continuité de ce comportement évidemment répréhensible et très facile à documenter n’ait jamais fait l’objet de la moindre sanction judiciaire.

Table des matières

  1. Introduction : l’offre d’Union Sacrée à partir de 2018
  2. Pharmacovigilance des vaccins contre l’hépatite B : ce que dit l’enquête "officielle"
    • L’alerte
    • L’enquête officielle
    • Propositions des rapporteurs
  3. Analyse critique de l’enquête officielle
    • Attentisme
    • Idées reçues
    • Falsifications en série
  4. Récapitulatif
  5. Conclusion


Élargissement des obligations vaccinales : quels inconvénients, en fait ? (Vaccins)

samedi 10 novembre 2018 par Marc Girard

En date du 15/02/18, j’ai ajouté un post-scriptum à cet article initialement mis en ligne le 16/07/17 - c’est-à-dire presque immédiatement après les décisions annoncées par Madame Buzyn. Un deuxième post-scriptum a été ajouté à la veille du 11 novembre 2018.

RÉSUMÉ - Abstraction faite des anti-vaccinalistes qu’il est décidément difficile de prendre au sérieux, l’essentiel des critiques visant l’actuelle volonté gouvernementale d’élargir les obligations vaccinales consiste à déplorer la chute de « la couverture vaccinale » qui risque de se produire par effet de répulsion : c’est, en d’autres termes, faire le jeu d’une propagande qui pose comme évident que la multiplication des vaccinations à laquelle on a assisté au cours de ces dernières décennies serait bénéfique à la santé publique. En s’abstrayant de cet implicite triomphaliste (dont on attend toujours la moindre démonstration), le présent article s’interroge donc sur les inconvénients additionnels d’une obligation dans le contexte d’une promotion vaccinale déjà préjudiciable à la santé publique, qu’on n’a cessé de dénoncer comme mode opératoire préférentiel de la criminalité médico-pharmaceutique actuelle. Après avoir caractérisé ces inconvénients additionnels comme idéologiques, légaux, psychologiques, iatrogènes, économiques, politiques enfin, on conclut que le projet d’élargissement des obligations est clairement une provocation-test dont la portée dépasse très largement la question des vaccins et qui, à ce titre, devrait appeler une forte mobilisation citoyenne.

Table des matières

  1. Introduction : un argumentaire actuellement introuvable
  2. Inconvénients idéologiques : une propagande grimée en contestation
  3. Inconvénients légaux : extension du domaine de l’arbitraire
  4. Inconvénients psychologiques : la soumission au lieu de la résistance
  5. Inconvénients iatrogènes : la santé publique en danger
    • Un concept génial en théorie, mais archaïque en pratique
    • Le bénéfice adaptatif des infections
    • La mosaïque de l’auto-immunité
  6. Inconvénients économiques : les pauvres rançonnés par les riches
  7. Inconvénients politiques : la force publique asservie
    • Des précédents éloquents
    • Une implacable obstination prédatrice
    • Des perspectives toujours plus alarmantes
    • L’hommage public des vassaux à leurs maîtres
    • La portée politique du débat
  8. Conclusion : répondre à la provocation


S - « Il m’avait détruite. (…) Expert en dégradation de la personne ! » (Quand les victimes racontent leur expertise)

mardi 30 octobre 2018 par Marc Girard
« Je vous demande de bien vouloir m’excuser de ne pas écrire de façon manuscrite ce témoignage, ma maladie ne me permettant pas d’assurer une telle longueur. Je certifie sur l’honneur l’exacte vérité sur ce qui suit ci-après. A la demande de Maître L., j’ai accepté de témoigner des teneurs des deux (...)


De la bienveillance en recherche clinique (Vaccins)

lundi 29 octobre 2018 par Marc Girard

Un de mes lecteurs parmi les plus fidèles me recommande de remettre dans le courant de l’actualité (29/10/18) cet article du 21/12/17 qu’il juge regrettablement inaperçu. J’accède d’autant plus volontiers à sa demande que, dans l’entre temps, j’ai mis en ligne une série intitulée « Quand les victimes racontent leur expertise ». Tel n’était pas mon objectif quand je me suis attelé à la publication de ce travail laissé sous le boisseau durant plus de dix ans mais, au vu des réactions qu’il suscite, il me semble que devraient rougir de honte ceux (tout particulièrement les responsables de l’AIMSIB, et certains de leurs sympathisants) qui, pour le plaisir d’un jeu de mots même pas bon ou la jouissance d’un dénigrement bête, n’ont pas craint de s’attaquer à moi sans la moindre pudeur. Je note en passant que par contraste avec leur dramatisation ridicule des taquineries anodines que leur réserve parfois l’Ordre des médecins, les sévices dont j’ai fait l’objet – parfaitement quantifiables –, sont monstrueux en termes de coût direct et indirect, et qu’ils ont impliqué les plus éminentes autorités judiciaires de notre pays : cette situation facile à documenter n’en rend que plus odieuse l’obstination durable de l’AIMSIB – inexplicable au regard des objectifs que cette association prétend défendre – à apporter sa modeste contribution à ce harcèlement sans précédent [8].

"Dépolitisation", on disait…

RÉSUMÉ – On revient sur la critique acerbe d’un des auteurs dont j’ai analysé l’article paru dans la revue Nexus, et on la démolit point par point, preuves en main ; on réfute également comme trop facile la critique que je mettrais tout le monde "dans un même sac". On s’interroge ensuite sur la variabilité de la notion de "bienveillance" telle que promue par l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante (AIMSIB) à laquelle appartiennent tous les auteurs de l’article publié dans Nexus. Sur la base d’exemples précis, on montre ensuite que cette "bienveillance" est surtout un indicateur d’irréflexion, puisqu’elle fonctionne objectivement comme outil de censure et d’occultation des principaux problèmes posés par la criminalité médico-pharmaceutique : on en tire que la pseudo-bienveillance promue par l’AIMSIB fonctionne surtout comme un lâche prétexte pour masquer les vrais conflits et se débiner devant la violence croissante de toute cette mafia.

Table des matières

  1. Introduction
  2. La réaction d’un auteur de Nexus
  3. Un sac à entrées multiples
  4. Une « bienveillance » à géométrie variable
  5. La « bienveillance » comme indicateur d’irréflexion
  6. La « bienveillance » comme outil de censure
  7. La « bienveillance », bourreau des extrémistes
  8. La « bienveillance » comme lâcheté
  9. Conclusion


R - « Je me sentais inutile, sotte, sale et méprisable » (Quand les victimes racontent leur expertise)

jeudi 18 octobre 2018 par Marc Girard
« Le **/**/1991, de retour d’une disponibilité, je réintègre mon poste d’infirmière de secteur psychiatrique au CHS de N*** qui m’avait employée depuis 1982. Au vu de l’art. L. 10 du code de la santé publique, j’accepte, confiante, avec un certain devoir civique le vaccin contre l’hépatite B. Dès juin (...)


Q - « J’ai eu l’impression d’être jetée dans la cage aux lions » (Quand les victimes racontent leur expertise)

vendredi 12 octobre 2018 par Marc Girard

Les réactions interloquées des internautes quant au scandale judiciaire sur quoi se conclut cet article m’ont conduit, quelques jours après la première mise en ligne (le 17/10/18), à ajouter une dernière note explicative.



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