Un précédent inquiétant, mais pas imprévisible…

Adressée en mai 1995 au Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (le journal de l’InVS) qui a toujours refusé de la publier, cette lettre se passe de commentaire.

Elle est une gifle pour ceux qui prétendent dissimuler leur incurie ou leur corruption sous le vernis de la “précaution”.

Elle confirme aussi mon injonction aux citoyens : en médecine, quand on vous parle de “précaution”, commencez par chercher le cadavre de la Prudence – et retrouvez les assassins.

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