Grippe porcine : je vaccine mes enfants ?

Il est un passage qui m’a toujours bouleversé, dans les contes de Grimm (39). C’est lorsque, accablé par le sort, le héros échoue chez un auxiliaire (en général, un homme ou une femme âgée) qui va lui donner les clés de la situation après lui avoir dit sous une forme ou sous une autre : “j’ai pitié de toi dans ta détresse”.

A tous les jeunes parents qui m’ont écrit pour me faire part de leur angoisse exacerbée par l’ignoble alarmisme des autorités sanitaires, je voudrais dire simplement : j’ai pitié de toi dans ta détresse…

L’article qui suit vise à leur redonner les clés de la situation.


Rédigé dans des conditions d’urgence imposées par la situation, le présent article est certainement imparfait : les références nouvelles sont limitées au strict nécessaire, et l’inventaire des données disponibles reste relativement concis. J’ai pu laisser passer quelques erreurs d’inattention, également. En fonction des remarques, critiques ou demandes de mes lecteurs, cet article sera progressivement approfondi et amélioré ; chaque mise à jour significative sera dûment signalée sur le site.

Pour des raisons qui vont de soi, je n’ai plus le temps de répondre personnellement à tous mes correspondants : dans l’allocation de mes forces et de mon expertise, je suis certain qu’on ne m’en voudra pas de privilégier le collectif sur l’interpersonnel. Mais même s’ils ne reçoivent plus de réponse individualisée, les internautes doivent savoir que leurs encouragements me touchent toujours énormément, et qu’ils entretiennent ma capacité de résistance.

Comme d’habitude, je demande aux internautes intéressés de contribuer à la diffusion de cet article en diffusant par eux-mêmes l’article ci-joint au format PDF, afin de minimiser le risque de crash lié à l’afflux d’accès sur mon site.

PS. Plusieurs internautes me font remarquer que dans la version PDF initialement fournie, les liens hypertextes (qui concrétisent pourtant un “droit d’inventaire” citoyen) sont inactifs. Peu expert en ces matières, je rebaptise ce premier texte (initialement édité en Word, puis imprimé avec l’utilitaire Open Source “PDFCreator”) en “article 1”. Je joins ensuite en “article 2” le même texte édité avec la suite Open Office, qui semble conserver actifs les liens. Je reste ouvert à tout conseil informatique éclairé qui permettrait à mes neurones fatigués de faire mieux.

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